Un jour comme bien d'autre, une rencontre...

Cela se passait il y a fort fort longtemps dans une partie du Monde de Silver World, en ce temps là j'avais 200 ans et mes pouvoirs n'étaient qu'au prémise de leur devenir.

Kalar se balladait sur les terres de Boudok à l'époque l'air était vif et sain, les places libres pour les forteresses pulullaient, point de proies en vue d'extinction l'abondance était au rendez vous. Mes pas me portaient vers une contrée sauvage au paysage verdoyant ou se tapissaient des forces phénoméanles.

Sur de moi après de multiples combats la fièvre de l'invincibilité me grisait les neurones.

Réétudiant mes sorts afin d'en avoir la maitrise totale, je m'enfoncait à travers une foret dence et luxuriante.
Débouchant sur un passage bordé de deux magnifiques montagnes, j'entendis un brouhaha de cris, de pas, de grognement...
Averti par ces bruits, les sens aux aguets je me préparais au pire.
Me fondant dans la végétation, j'aperçu une clairière ou là surprise 3 dragons mauves combattaient un non moins magnifique mais terrifiant Dragon d'or. Mit à mal par le nombre ce fabuleux tas de muscle et de magie se défendait oeil pour oeil dent pour dent.

Voyant la scène tournant à l'avantage des 3 mauves et n'écoutant que mon noble coeur, je sortis des fourrés et utilisant le sort du langage j'intervins:

Ola nobles bêtes, que vous arrivent ils? pourquoi tant de haine pour votre congénére?

Une voix se répercutant dans mon crane, j'entendis ces paroles "Qui va là? Qui ose nous déranger? A ce n'est qu'un avorton d'humain, fuit devant notre courroux, nul ne se met en travers de notre chemin."

En entendant ces paroles je blémis, mon sang se gela, le souffle court les mots me manquaient devant cette menace. Dans quel merdier m'etais-je mit.
Force de la nature aidée moi, je vous en supplie.
S'entend que la magie des Dragons mauves était à l'oeuvre,une faculté qu'ils ont est de troublé la concentration et la magie d'un mage. Je me sentais en bien mauvaise posture, seul un miracle ou une mort rapide pouvait me sauver.

L'heure de ma mort était arrivée, tant de chose à faire et plus de temps, je n'avais même pas connu l'amour malheur pour moi......

A suivre

Attendant ma mort, je vis un Halo Doré entouré le Dragon d'or je senti mon pouvoir revenir et ma concentation, la magie du dragon luttait pour enrayer celle des dragons mauves.

me servant de se répit que je savais temporaire, la pauvre bête était très mal en point.

Vite un sort vite un sort Cone de froid non trop simple et surtout je cible qu'un opposant, ils étaient trois chargeant vers moi.

Euréka j'ai trouvé Ecklair multiple ma concentration au maximum, la sueur coulant sur mes tempes le long de mon dos je savais que je n'avais qu'une seule chance.

Le ciel s'assombri on aurait dit que la nuit avait prit de l'avance sur son emploi du temps. Soudain les nuages se chargèrent en électricité, sous l'effort mes jambes flagolèrent soutenez moi mes jambes soutenez moi

Le dos rompu, les yeux exorbités, je rassemblais dans mes mains le pouvoirs des éclairs et balayait le champs du combat.
La mort frappa vite et bien les dragons mauves s'effondraient sous la puissance de ce sort.

La tête me tournait, les jambes molles je m'aperçu que je ne respirais plus aaaaaaaaafffffffffff. Refgardant cette espace de carnage, je voulais m'assurer que je n'avais pas touché le Dragon d'Or, et là je vis une chose effroyable...

M'écriant " Non!!! c'est pas possible, un dragon mauve avait survécu, mal en point certe mais encore très dangereux. Décidant en un éclair, c'est lui ou moi et ayant utilisé tout mon mana, je sorti de ma besace un vieux bolas.
En rugissant comme à mes début jeune guerrier de 16 primtemps, je me rappelais mon expérience de combattant et je fondis sur ma proie.

Flash de mon attaque spéciale, j'abati le bolas juste en dessous d'un oeil pour détruire son cerveau. Evitant de justesse une griffe fort acéré au demeurant, un liquide visqueux se répandit sur moi tel un jet d'eau.

La bête mourut en un éclair et je m'effondrais sur elle, la montée d'adrénaline s'évapora de mon corps tel un mirage de notre vision et je sombrais dans un monde fait obscurité et de rêves anarchiques...

Le ciel était mauve dans ce monde à la végétation luxuriante. Trois soleils éclairaient la vaste prairie qui s'étendait devant mes yeux.

Je reposais sur un lit d'herbe très confortable au demeurant.

Mon corps était vigoureux et regorgait de vie, je m'étirais et me relevait prestement.

Qui suis-je? Ou suis je? Soudain une femme rentra dans mon champs de vision.

Elle était d'une beauté sans nom, avec de long cheveux rond quand elle se retourna je vis ses yeux d'un vert bleuté merveilleux. Et quel charme mon dieu, je m'avancais vers elle tel un papillon vers la lumière hypnotiser courant droit à sa mort mais tellement heureux que peu lui importait de mourrir.

J'avançais doucement pour ne pas la faire partir ni l'effrayer.

N'étant plus qu'à 5 métres d'elle je décidais de lui parler.

"Bonjour Madame, Ou suis je? Qui êtes vous? Je ne reconnais pas cette terre.

La dame me parla:
" Bonjour à vous mon mari vous avez bien dormit"

Quoi cette merveille est ma femme, mais qui suis je?

"Vous m'avez l'air tout débousoler, votre chute vous aurez telle secouer plus que nous le croyons ".

Une chute de quoi parle t'elle!!! Aucun souvenir ne me revient même pas mon nom mais c'est quoi cette histoire...

"Venez donc ici mon précieux que je regarde votre blessure et vous embrasse pour vous guérir plus vite".

J'étais devenu fou à ces paroles, moi avec une personne si belle si royale. Tout ses gestes transpiraient le divin.

Elle s'assit et me montra ses genoux en me faissant signe de poser ma tête. Soudain une vision, une attaque sur quelque chose, un combat sanglant, une tuerie, de la magie, la douleur... J'étais en age, transis de sueur, glacé de toute part.
Je voulus relever ma tête, une douleur fulgurante me transperça de par en par. Ma tête retomba d'un coup.


Ne bouge pas, on nous serons tous les deux dans un autre monde très bientôt.

Ces paroles me sortir de mon refuge mental ou je m'étais retirer pour fuire la douleur.
Comment avais je fait ça?

Je senti une chaleur m'irradier et mon corps me fit moins mal. Retournant la tête pour voir ma sauveuse qui était apparemment ma femme, je vis ces yeux et sa bouche se rapprocher de la mienne, ne sachant pas réagir je me laissais faire.

Soudain, le ciel devint bleu, un museau occultait le ciel, je senti la bave dégoulinait sur mon visage. Mouvement de recul, quelle erreur la douleur me coupaen deux.

Ne bouge pas, veux tu mourrir?

Et là je vis le dragon d'Or devant moi " Mais que faite vous?" Je suis fou, mort peut être, je suis en enfer, non la douleur est réelle, enfin je crois. Je parle à un dragon.

Idiot, bien sur que tu parles à un dragon tu es un magicien.

Moi, un magicien.

Non, c'est faux faux faux. Que m'arrivait il? pourquoi tant de répulsion à entendre le mot magicien. Voulant fuir tout ça, je me levais enfin et m'effondrais dans une noirceur salutaire.